L’expression d’une maladie végétale est fonction des conditions météo, des pratiques agronomiques (broyage des résidus, travail du sol) et du niveau d’alimentation des cultures. On ne connait pas les conditions météo à l’avance, mais on connait les interactions de chaque élément avec les différentes maladies. Découvrez comment les anticiper sur vos cultures grâce à la nutrition !

Le pack suivi nutrition est une nouvelle offre que nous proposons à compter du 18 juin 2023. Son objectif est de démontrer le bienfondé de notre méthode agronomique chez vous, à petite échelle, pour approcher la fertilisation différemment au travers d'itinéraires techniques innovants. Cet hectare “test” servira de référence en termes de nutrition et de fertilisation par rapport à des problématiques que nous évoquons souvent : valorisation de l’azote, adventices invasives, ravageurs, déséquilibre des bases du sol. Vous pourrez tester des fertilisants innovants que vous n’avez pas l'habitude de travailler et qui vous amèneront de nouvelles perspectives d'un point de vue technique et environnemental.

Quand tous les moyens agronomiques ont été mis en place pour diminuer la pression du ray-grass (labour, faux semis, décalage de la date de semis, rotation), comment se fait-il que sa présence ne diminue pas dans vos parcelles ? Découvrez comment réduire durablement sa présence et retrouver de l'efficacité de désherbage grâce à l'approche bio-indication.

Durant la campagne 2022, nous avons mené une batterie d’essais pour chiffrer les effets de la fertilisation foliaire d’acides aminés et d’oligo éléments sur différentes cultures. D’après nos résultats d’essais, le maïs est la culture qui réagit le mieux à cette approche innovante de fertilisation. Retrouvez dans cet article quelques éléments de réponse pour l'expliquer.

Le piétin échaudage est la maladie racinaire des céréales à paille à l’origine des plus grosses pertes de rendement en France et dans le monde. Si aucun traitement curatif en végétation n’est 100% efficace pour éradiquer complètement la maladie, une fertilisation équilibrée et régulière peut favoriser une croissance saine des plantes et renforcer leur système immunitaire. Des niveaux optimaux de nutriments essentiels, tels que l'azote, le potassium, le cuivre, le soufre et le manganèse peuvent aider les plantes à résister aux infections fongiques.

Sans que ce soit nécessairement une décision sur le long terme, certains agriculteurs sèmeront des blés de paille, que ce soit pour des raisons économiques, pratiques ou techniques. L’objectif ici n’est pas de faire du militantisme exacerbé pour la monoculture de céréales, mais bien d’aborder du point de vue technique les recommandations pour réussir votre blé sur blé si c’est votre cas pour la campagne à venir. Il est intéressant de mettre en exergue les points de vigilance qui nous interpellent d’un point de vue agronomique.

Les enjeux nutritionnels sur la campagne maïs se jouent beaucoup au démarrage de la culture. Mettre la plante dans de bonnes conditions lui permet d’être plus résistante aux différents stress et améliore sa productivité : potassium et manganèse pour la résistance à la sécheresse ; cuivre et bore pour la fertilité ; zinc pour ses propriétés anti-oxydantes ; acides aminés et levures pour la valorisation de l’azote. Retrouvez dans cet article toutes nos préconisations pour optimiser la nutrition de vos maïs !

Lorsqu'il s'agit d’implanter un blé derrière un maïs dans la rotation, des défis significatifs se présentent aux agriculteurs. Le maïs en tant que précédent peut influencer considérablement la réussite du blé en termes de rendement, de qualité des grains et de santé des plantes. Cet article explore les stratégies clés pour maximiser le potentiel de réussite du blé après un maïs dans la rotation des cultures, avec un point d’attention particulier sur la nutrition du blé.

Bien que moins dommageables que d’autres virus, les mosaïques des céréales peuvent causer des pertes de rendements allant de 10 à 40% selon les variétés et les conditions. Les conditions climatiques de cette campagne 2023 sont propices au développement de ces pathogènes : ils s’expriment de façon plus marquée lors d’un printemps humide. Après avoir passé en revue les conditions de développement de ces virus, nous verrons comment faire baisser la charge virale grâce à la nutrition de la plante pour limiter les pertes de rendement.

Certains éléments nutritifs ont un impact direct et plus important que d'autres sur les maladies des plantes. Notre lecture vise à comprendre ces mécanismes pour améliorer la performance du système et réduire les traitements phytosanitaires.